Bref, ces dernières années mon blog est devenue un blog exclusivement consacré à la littérature, les articles personnels on disparut mais il m'arrive de temps en temps de ressentir le besoin de partager avec vous des éléments de ma vie, autre que ce que vous pouvez déjà voir sur le blog.
J'avoue avoir beaucoup hésitée à partager ce travail qui, pour moi n'était pas des plus réussi. Mais finalement je me dis que suite à ma chronique pour le moins minable sur le sujet. Peut-être que de vous dévoiler mon travail de remémoration pourrait vous aider à comprendre ce que j'ai et ce que je ressent pour ce livre et finir de vous convaincre ?
Je vous offre mon travail mais aussi une part de moi même. Mes pensées en espérant qu'elles vous plairont et ne seront pas trop longues ou inutiles :)
15 jours avec Les fiancés de l’hiver de Christelle Dabos.
J’ai d’abord eu du mal à me décider quand au livre que je
devais choisir.
Au moment de l’énoncer du travail en classe le premier livre
qui m’est venu à l’esprit est un livre qui me hantait depuis quelques jours
déjà, à cause d’un évènement marquant qui venait de se produire dans ma vie.
J’ai toujours tendance à coller un livre à chaque personne
que je rencontre et qui, je le sais, apporte un certain intérêt à la lecture,
comme c’est mon cas. S’il ne s’agit pas d’un livre, il s’agira plutôt d’un
genre littéraire. Mais je ne peux pas m’en empêcher, je pense sans arrêt en
livres. Je compte en livre, je pense livre, je rêve livre…
J’ai cette fâcheuse tendance à me rappeler pourquoi je me
suis penchée sur tel ou tel livre. Qui ou quoi m’a donné envie de le lire.
Qui ? Juline. Quoi ? sa chronique.
Seulement voilà, les gens disparaissent là ou le livre lui
reste. Je n’assimile que très rarement les livres à ce que m’ont inspirés les
personnes qui me les ont fait découvrir.
Peut-être que j’y donne plus d’importance s’il s’agit d’une
personne que j’apprécie, je ne dis pas le contraire. Mais je ne deviens pas
forcément mélancolique si cette personne disparaît, vis à vis de ma lecture. Et
finalement c’est le plus beau cadeau qu’on puisse me faire que de me donner
cette liberté de m’approprier un livre.
Le premier livre auquel j’avais pensé, a laissé la
mélancolie prendre le dessus. Je ne veux pas la laisser gagner. Je préfère
laisser l’histoire me rappeler combien la personne partie m’a apportée. Je
préfère me souvenir d’elle, et non pas du gout amer que sa disparition à
laisser dans ma bouche.
J’imagine que c’est par là que ça commence. Le choix du
livre sur lequel on va se pencher. Les souvenirs qu’il nous laisse et la
réflexion qui va avec ? En réalité je ne suis pas vraiment sûr de faire
bonne route…
Mais j’ai déjà choisi ma victime.
Mercredi 1/10/14
Aujourd’hui
encore, en y repensant j’ai essayé de structurer un peu plus mon avis sur ce
livre. Plusieurs mois après avoir refermé le bouquin dans un soupire d’extase
ou de frustration, je ne sais toujours pas. J’en reste incapable.
« Je
ne peut décrire ce que j’ai ressentie »
C’est
drôle mais le manque d’organisation d’idées est souvent ce qui marche le mieux.
Je
comptabiliserai bien le nombre de livre que j’ai fait vendre grâce à cette
phrase.
Vendredi 3/10/14
J’ai hâte de voir venir l’hiver. Peut-être que cette année
je l’apprécierai plus ?
Samedi 4/10/14
Il existe des livres qui vous chamboulent et vous marquent. Des
auteurs qui savent vous toucher. Si demain je devais faire une liste d’auteurs
à rencontrer. Clairement Christelle Dabos y figurerait. Là tout de suite je ne
saurais surement pas quoi lui dire.
« Mais d’ou sortez vous tout ça ? Comment faites
vous ? De quoi vous êtes vous inspirée ? »
Peut-être même que je lui demanderait si elle est folle, si
elle n’a pas peur de le devenir. Comme le maitre Tolkien…
Comment peut-on créer un monde entier avec ses uses et coutumes
sans finir par s’y perdre ?
Plus j’y pense plus ce monde me hante. Je le vois partout.
Dans la politique, la société, dans les saisons mais aussi dans l’histoire...
Il m’a bloqué, frustré, émerveillé, touché, chamboulé… Il m’a vraiment fait
ressentir quelque chose en tous cas. C’est bien là seule chose que je puisse
réellement affirmer.
Finalement je pense que si j’avais la chance de rencontrer
Mme Dabos, j’essaierai de la faire rire. Par gêne, très certainement. Que dire
à une personne dont on admire le génie, quand on ne sait pas décrire le
pourquoi du comment ce génie qui nous intimide tant nous semble être un travail
de génie justement? Voilà une jolie répétition du mot génie tiens…
De toute façon c’est toujours la même chose. Quand j’essaie
de comprendre « pourquoi » j’ai autant apprécié ma lecture, je
m’embrouille toute seule. Je ne sais plus m’exprimer. Je suis
même totalement
incapable de résumer l’œuvre elle même, en tachant d’inciter l’autre à se
lancer dans sa lecture.
Alors madame Dabos dites moi, comment vous y prenez
vous ? Comment faites vous pour perdre le lecteur dans VOTRE imagination et le laissé
totalement démunie une fois qu’il en a réchappé ?
C’est ce que j’aime dans les livres. Une amie utilise
toujours le slogan : « Reading is a discount ticket to
everywhere » de Marie Schmich.
Et, effectivement je pense que je ne peux pas faire mieux
que de dire : qu’il m’a fait voyagé. Et que, plus qu’un autre il m’a
transporté.
Lundi 6/10/14
J’imagine que le contexte dans lequel se déroule notre
lecture compte énormément. Sinon je ne vois pas pourquoi on se rappellerait de
ce genre de détails insignifiants ?
Je sais par exemple que j’ai commencé à lire ce livre au
moins de Juillet. Début Juillet. J’étais à une compétition de tennis à soutenir
mon copain. On notera le soutien d’ailleurs…
Il était aux alentours de 19h. Il faisait frai. J’étais
installée sur une espèce d’estrade en bois ou les fourmis s’amusaient à
m’embêter, nom d’un chien ce que ça pouvait m’exaspérer d’ailleur. Au bout de
quelques minutes je m’étais enroulé dans un plaid. -Oui parce qu’il m’arrive
d’être une fille prévoyante-. Je venais de boire un indien ( grenadine /
orangina) une boisson d’enfant… Bref, ce genre de détails insignifiants là.
Alors s’ils étaient si insignifiants pourquoi est ce que je m’en
souviens ? Pourquoi est-ce que pour cette œuvre, j’ai l’impression d’avoir
vécût un moment mythique et inoubliable alors que d’autres œuvres ce sont au
contraire carrément effacées de ma mémoire ?
Au début je voulais juste le feuilleter rapidement, je ne
voulais pas me plonger véritablement dans l’œuvre. J’avais un match à suivre
tout de même !
Mais je ne sais pas, je dois être doté d’une sorte de 6ème
sens. J’ai toujours tendance à ressentir avant même d’avoir eu le temps de
m’imprégner réellement de l’histoire qu’elle
va me plaire. Il m’est déjà arrivé de
couvrir un livre pour le protéger avant même de savoir s’il allait être à mon
gout. Un peu de superficialité dans tout ça ne fait jamais de mal…
Après tout quand on y pense un livre c’est non seulement un
univers, une intrigue ou un travail de l’imaginaire. C’est aussi un objet.
J’adore l’objet livre. Or les fiancés de l’hiver est un MAGNIFIQUE objet livre.
Même maintenant quand je le conseil j’avoue que j’utilise encore cet argument
pour convaincre les gens ne serais-ce que de l’avoir en leur possession.
Histoire de me sentir moins seule.
Avant qu’on ne me le conseil j’avais déjà eu l’occasion de
le zieuter. Sa belle couleur bleue et son illustration m’avait beaucoup
intrigués, je dois l’admettre.
L’illustration était aussi une question sans réponse pour
moi. Mais qu’est ce que c’est que cet espèce de château suspendu par on ne sait
qu’elle force, sur fond bleu ?
Un remake du château dans le ciel de Miyazaki ? Je
l’avoue il m’avait attiré, mais repoussé à la fois. Je ne m’étais même pas
approché pour en lire la quatrième de couverture. Je n’étais pas venue pour lui
et il était hors de question que je craque pour un énième livre seulement parce
que son aspect me paraissait sublime et que je le voyais déjà prendre place
dans ma bibliothèque.
Non je m’y refusais.
Maintenant quand j’y pense je suis déchirée entre le regret
de ne pas avoir découvert plus tôt ce délice littéraire et le soulagement
d’avoir évité d’avantage de mois de frustration en attendant le deuxième tome.
Je me suis d’ailleurs décidé à le prendre sur un coup de
tête. Je me rappel du jour de mon achat. Decitre un mercredi après midi.
J’allais vaincre mon mauvais penchant pour l’achat compulsif de livres, quand
ma camarade de débauche ne supportant pas de me voir les mains vides tandis que
les siennes étaient déjà prises m’avait ordonnée : « Tu ne sors pas
d’ici sans un livre ».
J’avoue que c’est sans réfléchir que je m’éloignait des
caisses pour me rendre dans le fond du magasin au rayon Young adult pour m’emparée du précieux.
Est-ce faire preuve de superficialité que de donner de
l’intérêt à une couverture, mise en page ? A la texture du papier à son
format ?
Est-ce que l’auteur à mot dire dans ces choix ? Est-ce
qu’il à sa part dans la création du support de son monde ?
En réalité, je savais que j’allais l’aimer. Je le trouvais
beau. C’était déjà pratiquement gagné.
Mercredi 8/10/14
Finalement plus j’y pense, plus je me dis que je fonctionne
un peu comme un livre.
Avec un début : la découverte des personnages, la
plongée dans ce monde merveilleux.
L’apprentissage de la géographie. Bon, là, j’avoue que ça à
été un peu compliqué pour moi au début de m’imaginer ces mondes si différents
les uns des autres comme étant en contact et appartement plus ou moins au même
univers.
J’ai eu l’impression de dompter petit à petit la plume de
l’auteur. Ce n’est pas seulement l’intrigue que je m’imaginais mais aussi
l’auteur elle même. Je lui ai donné un visage comme j’ai pu le faire avec ses
personnages. Je ne suis pas allée vérifier à quoi elle ressemblait. Dans mon
imagination elle est un peu comme la mère du personnage principale. Elle a donc
légèrement pris son apparence.
-Du coup j’en viens à me demander si on peut également s’approprier
un auteur ? N’est-ce pas un peu barbare ?-
J’ai eu du mal à planter le décor.
L’univers que je me suis crée à l’époque de ma lecture ne
correspond pas forcément à celui que je m’imagine maintenant. Je pense
sincèrement que le livre évolue avec son lecteur.
D’ou ma catégorie « début ».
Mais j’ai aussi eu un milieu. Il se détache de ma période
« début de lecture » par mon avancé dans l’œuvre. J’ai d’abord
commencé par tourner les pages avec une facilité déconcertante avant de me
rendre compte qu’à un moment tout allait s’arrêter. J’ai donc freiné des quatre
fers et me suis privée pour ne pas le terminer.
J’étais déjà dans cette angoisse que tout livre à mon gout
crée en moi.
Le contexte voulait là encore avoir son importance dans mon
esprit.
J’ai découvert ce livre alors que je travaillais 48heures
par semaines en usine. Dans le bruit permanant, la fatigue… l’usure du
quotidien poussé à son extrême.
Comme à chaque fois, quand le livre qui m’accompagnait
pendant cette période ne me hantait pas, c’est mon cours de philosophie qui
reprenait le dessus. L’aliénation du travail. Qu’elle meilleure échappatoire
que celle que l’esprit peut nous apporter dans ces moments là ?
Je m’enfermais dans l’univers de Christelle Dabos et je
jubilais d’y rester le plus longtemps possible. A chaque pause, mon livre
m’accompagnait. Que je le lise ou non, il fallait qu’il soit là, près de moi.
-Il en a d’ailleurs subit les séquelles. Peu notable pour
les autres mais pour moi qui suis si maniaque du livre le voir dans cet état
reste une déchirure.-
J’ai donc passé une grande partie de ma lecture à repousser
ce moment fatidique ou j’aurais à fermer le livre et attendre l’interminable
attente du second tome.
Enfin j’ai eu une fin. L’après lecture. J’ai tout bonnement
été prise de désespoir. Je me rappel des sourires moqueurs de mes parents vers
qui je ne cessait de me plaindre.
« Mais vous comprenez pas, j’arrive pas à me l’enlever
de la tête ! Il me hante je vous dis ! J’arrive plus à lire
autre chose, tout me paraît fade ! Je vais faire quoi maintenant ? »
Entre les remarques qui avaient pour but de me booster et
celles qui me jalousaient je suis passé par tout.
Je me souviens de cette phrase prononcée pendant la pub du journal
de 20h :
« Ce doit être bien d’aimer autant un livre… »
Oui, ça l’est. Mais en même temps ça laisse tout de même ce
gout amer dans la bouche si caractéristique du manque.
J’ai fouillée farfouillée, cherchée de quoi me calmer sur
internet. Site officiel, fan art, biographie de l’auteur. Date de sortie,
annonce de parution. Représentation. Autres avis.
J’étais devenue une camée à la passe miroir. Je me sentais
si seule et désespérée dans mon attente que j’incitais tout le monde à le lire
pour pouvoir partager avec moi ces impressions sur le sujet.
« Lisez les fiancés de l’hiver, lisez les fiancés de
l’hiver » je scandais cette phrase comme s’il s’agissait d’une menace avec
une facilitée déconcertante…
Je ne lisais plus. Book
hangover, je ne pouvais plus rien lire d’autre.
D’ailleurs ça fait un moment que je ne suis pas retourner
voir la page officiel. Il faut que j’y pense…
Vendredi 10/10/14
Je suis au désespoir, à force de penser à ce livre j’ai
finalement replongée dans cette folie que j’ai ressentie en le fermant. Je suis
de nouveau hantée par ces personnages. Je veux retrouver ce monde merveilleux.
J’ai l’impression d’être une gamine à qui on à retirée sa poupée. Ben bravo …
Samedi 11/10/14
J’ai de nouveau regardé tous les dessins fait pour
l’auteure. Mais aussi ceux qu’elle à fait faire. En les redécouvrant je me suis
rendue compte qu’ils étaient la cause du changement qui c’est opéré ni vu ni
connu dans mon esprit. J’ai perdu la représentation que je m’étais faites des
personnages et de l’univers. Le film de ma tête est enfaite devenue un dessin
animé à l’image de ces dessins qui nous sont proposés sur le site.
Ce n’est pas forcement un mal. Mais comme quoi notre
imagination ne cesse de fonctionner même une fois le livre terminé.
Le travail du lecteur ne s’arrête pas à sa découverte de
l’œuvre. Finalement il doit d’abord s’approprier l’œuvre, après il la façonne
comme bon lui semble.
Dimanche 12/10/14
J’étais sensé en avoir terminer et ne plus penser à ce
livre. Mais c’est plus facile à dire qu’à faire maintenant ! Je suis
complétement désespérée ! Christelle Dabos vient d’annoncer sur sa page
officiel que les dates de publications qui nous étaient parvenues comme pour
fin 2014 n’était que des rumeurs et que malheureusement elle n’avait pas
terminée d’écrire le tome deux. Me voilà bien…
Être auteur ce ne doit finalement pas être si mal !
Après tout j’imagine qu’elle elle ne doit pas ressentir de manque puisqu’elle
reste dans son monde en l’écrivant. J’aimerais bien être dans sa tête, juste
pour apercevoir ce qu’il s’y passe…
Mercredi 15/10/14
En espérant que maintenant vous comprendrez mes "lisez les fiancés de l'hiver" que je vous offre en mode replay depuis ma lecture.
Pour ce travail j'ai eu 7,5/8 presque la note que j'ai donnée à l'oeuvre ;)
Credit photo : Christelle Dabos ( trouvé sur le site officiel de la passe miroir ) et oui parce qu'en plus c'est une artiste avec des pinceaux...
Woaw Emilie, c'est super bien écrit, mon respect, j'ai beaucoup aimé ce livre mais toi là, pfiouf tu m'as ému par tant d'amour, j'aime des livres comme ça, mais je ne sais pas si je saurais en parler aussi bien que toi. Tu peux être fière de toi, bravo :)
RépondreSupprimerC'est un article vraiment... wouah ! Captivant, bien écrit, vraiment très habité par ce livre. C'est un de mes gros coups de cœur, et je n'attends qu'une seule chose : la suite ! En attendant, je le re(rere)lis !!
RépondreSupprimerWow.
RépondreSupprimer<3
C'est un magnifique article ! Superbement écris <3
RépondreSupprimerJe sais, je doit le lire, mais le tome deux n'a pas fini d’être écris, je vais être frustré
Ohhh je connais si bien cette amertume qu'on peut ressentir en refermant un livre. Ce manque, ce livre me l'a bien fait ressentir ! J'ai moi aussi zieuté le site, le Facebook, les dessins, sans cesse, encore et encore.
RépondreSupprimerBravo pour ton billet, je l'ai adoré.
J'adore tout simplement et tu me donnes GRANDEMENT envie de découvrir le livre !
RépondreSupprimerTu as super bien décrit l'amour des livres et l'attachement que l'on peut ressentir envers un univers !!
RépondreSupprimeret c'est vrai que ce livre en particulier m'a aussi hantée pendant les semaines qui ont suivies ma lecture, à tel point, que je n'arrivais pas à ma plonger dans un autre xD
Pourvu que la suite sorte bientôt !
Bravo pour ton travail, tes mots m'ont émue. Je suis en train de lire Les fiancés de l'hiver et je suis dans la phase où je me freine pour ne pas le terminer trop vite. Au boulot, j'en viens même à imaginer que le bouquin me parle depuis le tiroir où je l'enferme. J'ai loupé ma station de métro ce matin. Bref... on connaissait la passion des livres mais savait-on vraiment que les livres ont un pouvoir ? CE livre a un pouvoir.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJ'ai publié mon avis sur mon blog (tout nouveau ^^). Si tu en as envie passe me lire et dis-moi ce que tu en penses :
RépondreSupprimerhttp://ravellelitetlouche.blogspot.fr/2014/12/la-passe-miroir-livre-1-les-fiances-de.html
J'ai aussi lu et adoré ce livre. Ton article est très émouvant, j'ai pris un grand plaisir à le lire, et j'adore ta sincérité. Je trouve juste ça terriblement dommage que ton texte si beau soit gâché par tant de fautes d'orthographe. D'un autre côté, elles reflètent aussi ta spontanéité, ton écriture naturelle et sans doute toute l'émotion que tu as ressentie en lisant "Les fiancés de l'hiver". Mais les fautes, petit à petit, vont disparaitre. Et surtout, c'est en très grande partie grâce à toi que j'ai découvert ce roman merveilleux que j'ai vraiment adoré. Alors un tout, tout grand merci !!!
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé lire ton article car comme toi, j'ai eu un très beau coup de cœur pour ce roman ! ( en passant, je suis dégoutée de tant d'attente pour lire la suite ;) )
RépondreSupprimerC'est en ça que la lecture est magique. Courage, nous sommes nombreux et nombreuses à l'attendre impatiemment, soutenons nous !!! ;)
J'ai adoré ce livre et il m'a hanté pendant des semaines.
RépondreSupprimerSabrina du blog LA NOSTALGIE DE L ANGE
Salut j'ai dévoré ce livre en à peine une journée je crois, tellement j'ai été absorbé par cet univers incroyable et bouleversant. J'ai hâte de connaitre la suite des aventures de la passe-miroir. Merci pour cette belle chronique.
RépondreSupprimerCe bel article me met les larmes aux yeux, je me retiens d'ailleurs pour ne pas me laisser aller et pleurer ...
RépondreSupprimerJe comprend exactement cette sensation !
J'ai finie la Saga Millenium y a quelques jours et je suis hantée moi aussi, et remplie de désespoir sans fin!
L'histoire ne cesse de m'habiter et de me hanter jours après jours !
Je n'arrive tout simplement pas à m'en défaire!
Je me sent comme si j'étais en deuil, c'est complètement absurde je trouve!
Je me suis tellement attachée aux personnages que maintenant ils me manquent cruellement !
Je ne sais pas ce que je vais devenir ...
Je suis en plein dans une autre lecture, et moi aussi ça me paraît fade !
D'ailleurs je crois bien que dorénavant toutes les histoires me paraîtront fades après Millenium !
Millenium c'est Millenium.